Lettre ouverte
Introduction :
Il ne faut même pas oser oublier que l’histoire se passe dans un pays pas comme les autres : LE LIBAN… et dans ce pays, les gens sont surtout connus pour:
- Leur hospitalité majestueuse (tellement qu’il est des pays qu’on avait invité pour quelques jours et qui sont restés pour des années ; mais encore…)
- Leur faculté à se faire face à N’IMPORTE quelle situation…
Corps du Sujet :
Le sujet ? Se faire entendre… ceci était littéralement le souci des deux camps… je ne m’attarderais pas sur la manière, mais se referant au point numéro 1 ci haut, il faut dire que les Libanais ne manqueront jamais d’idées pour parvenir à leurs buts…
A la base, il y avait les bâtons… en principe, le drapeau de tel parti y était attaché (pas aussi solidement qu’on ne le pense)…
Ensuite, il y eu une envie soudaine de tout saccager, et là, (et je stresse sur ce point), prière de se référer au point numéro 2 noté plus haut… parce que les Libanais ont pu (encore et toujours) s’y faire… et hop, les drapeaux se transforment en arme à destruction massive… et comme casser les vitres d’une voiture n’apaise pas la faim aveuglée des « batonneurs », autant monter dessus et y faire quelques tours (Mais pas et puis s’en vont…)…
Conclusion :
Des images plus que désolantes, affligeantes, navrantes, attristantes, déplorables, pitoyables… et j’en passe… des images dont on garde ces séquelles :
- Une citation Bouddhiste à chérir:
« La Liberté, ce bien si précieux, ne la détruisons pas par la Passion »…
- Une photo qui pousse à réflechir:
- Une leçon politique qui fait rire :
Venant d’un Mr. Européen qui devrait plutôt s’attarder sur la situation chez lui et à qui on devrait rappeler qu’une loi a été amendée dans son pays il y a quelques mois, histoire de se ressaisir face à un peuple qui se manifestait …
- Une phrase tirée d'une chanson de la Sublimissime Majida El Roumi que j’essaierais (autant que possible) de traduire :
« Arrêtons de chanter la Liberté quand tous les gens sont emprisonnés…»
7ajé nghané lal 7orriéh w kel el 3alam ma7boussin
Il est des gens qu'on emprisonne sans pour autant les mettre derrière les barreaux...
1 Comments:
Ça fait depuis ce matin que je me log à ton compte en attendant tes commentaires concernant hier… Comme il se doit, tu combles mes attentes...
Regarde ce que j’ai trouvé dans les archives hier :
« Et dans la douleur à répétition devenue le lot de notre pays, on ne peut trouver quelque réconfort à l’idée que si d’aucuns sont tellement acharnés à la perte du Liban, c’est après tout parce que le Liban est vissé à la vie… » I.G.
Ça va prendre du temps, certes, et le temps c’est justement ce que j’ai à offrir aujourd’hui… mais je pense que tout le monde a appris une leçon hier : on ne peut pas continuer à ignorer les gens et à prendre de sales décisions à leurs places…
Je te verrais ce soir à la réunion… ne tarde pas à arriver, on a beaucoup à faire ya Halhoo
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